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Littérature et cinémaÂ
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Gilles Berheim et Philippe Barbarin - ou l'exigence d'un véritable dialogue judéo-chrétienBialik , un poète entre tradition et modernité - Fertilité d'une ambivalenceA lire ce mois-ci - Amos Oz, Imre KertészFocus: Le Chant du peuple juif assassiné - d'Yitshok KatzenelsonFocus: Un homme sans tête et autres nouvelles - d'Etgar KeretCinéma - Survivre avec les loups - Jewboy - Les faussaires
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Coup de coeur, coup de blues - Raphaël Draï et Constantine, Régis Debray et la Terre sainteTraduire "Yasmine" d'Eli Amir - Les tendances de la littérature israélienneA lire ce mois-ci - Avraham B. Yehoshua et Meïr ShalevFocus: Dans la peau de Gisela - de David GrossmanFocus: Les livres que je n'ai pas écrits - de George SteinerLe cinéma par Xavier Nataf - Dans la vie - Le voyage de Primo Levi - Mon Fürher - Petits héros- Beaufort
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La Shoah entre Histoire et histoires
“Récits d’Histoiresâ€
Le "moment mémoire" - Des historiens personnellement investis par la ShoahLa communauté juive française face à la Shoah - L'attitude ambigüe des Israëlites françaisComment on devient un historien de la mémoire - Une interrogation nouvelle sur l'histoire contemporaineLe débat autour des Bienveillantes de Jonathan Littell - L'avis des deux historiensQuestions du public - La place de l'affect dans l'"égo histoire" - l'attitude du Consistoire pendant la Shoah
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Vie et mort en quatres rimes
Poésie israélienne contemporaine
Présentation - par Emmanuel Moses, traducteur"Un soir subitement" de David Avidan - par Stéphane Freiss, acteur"Tuerie" de Haïm Nahman Bialik - par Stéphane Freiss, acteur"De la maison de ma mère" de Leah Goldberg - par Stéphane Freiss, acteur"Héritage" de Haïm Gouri - par Stéphane Freiss, acteur"Le point de départ" de Dan Pagis - par Stéphane Freiss, acteur"Collectionneur d'automnes" de Gabriel Preil - par Stéphane Freiss, acteur"Argaman" de Yonatan Ratosh - par Stéphane Freiss, acteur"Un habitant anonyme parle de son quartier" d'Abraham Schlonsky - par Stéphane Freiss, acteur"La gare de Malines" de Noah Stern - par Stéphane Freiss, acteur"Il est dit-on une terre" de Shaul Tchernichovsky - par Stéphane Freiss, acteur"Adieu Berlin" de Nathan Zach - par Stéphane Freiss, acteur"Des oies" - "Transmigration des âmes" - "La cabane" - par Agi Mishol, poète et Emmanuel Moses, traducteur"Poème de mon adolescence" - par Israël Pincas, poète et Daniel Mesguich, acteur"Dessins à la craie" d'Israël Pincas - par Daniel Mesguich, acteurPoèmes extraits de "Promenade" - par Israël Eliraz, poète et Emmanuel Moses, traducteur"La vengeance de l'enfant bègue" - "Algérie" - "Un paradis pour le riz" - "Blé" - par Ronny Someck, poète et Emmanuel Moses, traducteur
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Shir Ha-Sihirim (Le Cantique des Cantiques, chap. I, 1-4) - musique traditionnelle"Shir erets" (Poème de la terre d'Israël) - Poème de Nathan Yonatan, musique de Sacha Argov"Ve'oulaï" (Et peut-être) - Poème de Rahel, musique de Yehuda Sharet"Beyn nahar prat ou'nehar hidekel", (Entre le Tigre et l'Euphrate) - Poème de Haïm Nahman Bialik, musique traditionelle"Zemer", (Chanson) - Poème d’Avraham Shlonski, musique de Marc Lavry"El hatsipor", (A l'oiseau) - Poème de Haïm Nachman Bialik, musique traditionnelle"Unter di grininke beymelekh" (en yiddish) - Poème de Haïm Nachman Bialik, musique de Platon Brunoff'Peguisha le'eyn kets", (Une infinie rencontre) - Poème de Natan Alterman, musique de Naomi Shemer"Shir leyl shabbat" (poème du vendredi soir) - poème de Yehuda Amihaï, musique de Moshé Wilenski"Doud shemesh" (Le chauffe solaire) - Poème de Ayine Hillel, musique de Sasha Argov
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Les femmes et la littérature pour enfants - De la Haskala jusqu’à nos joursLa féminité dans le roman de Dvora Omer - Aimer jusqu’à la mort (Le`ehov Ad Mavet)
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L'univers domestique - Sujet récurrent chez les romancières israéliennesSphère familiale - Miroir des principaux événements de l’intrigueProcédés stylistiques - Quelques exemplesElaboration des métaphores - Processus influencé par le quotidien
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Identité féminine, religion et écriture romanesque - Alliance difficilePluralité d'espaces représentés - Du milieu religieux au milieu laïqueThèmes abordés par les écrivaines orthodoxes - Relation de couple, père/mère-fille, sexualitéSpécificité d'écriture féminine orthodoxe - Utilisation des mythes fondateurs
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Religiosité selon Aharon Appelfeld - Expérience de nature mystique La chambre de Mariana - Message hassidique à travers la figure d'une prostituée Katerina - Union mystique entre l’héroïne et la divinitéToute une vie [Haim Shlemim] - Voyage à double sens
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A l'origine, un cinéma pré-israélien - Jérusalem et Jaffa, pôles économiquesLes images d'archives des pionniers - De l'artisanal à valeur historiqueQuand le cinéma devient industrie - Idéaliser l'entreprise sionisteEffets épiques du réalisme sioniste - Voix-off et scènes patriotiquesAvodah, le film d'Helmar Lerski - L'influence du cinéma soviétiqueA l'origine, un cinéma pré-israélien - Jérusalem et Jaffa, pôles économiquesLes images d'archives des pionniers - De l'artisanal à valeur historiqueQuand le cinéma devient industrie - Idéaliser l'entreprise sionisteEffets épiques du réalisme sioniste - Voix-off et scènes patriotiquesAvodah, le film d'Helmar Lerski - L'influence du cinéma soviétique
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Quand le peintre devient cinéaste - "Tante Chinoise et les autres" (1957)Le documentaire "A Jérusalem" (1963) - Vision prémonitoire d'un Israël muticulturelLe Journal de David Perlov (1973-1983) - Le motif symbolique de la fenêtreRéappropriation de la voix-off - Commentaire subjectif et poétique
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Des femmes derrière la caméra
La féminisation du cinéma israélien
Les femmes et le cinéma israélien - par Ariel Schweitzer, historien du cinémaEntre le personnel et la politique - Le cinéma thérapeutique de Michel Bat Adam"Les films de femmes sont toujours politiques" - Une réalisatrice autodidacte - Ronit ElkabetzLe point de vue féminin - Le cinéma de Keren Yedaya et Hager Ben AsherLa coopération avec la France - par Keren Yedaya et Ronit Elkabetz, réalisatricesLa religion comme symbole de la domination masculine - Ronit Elkabetz sur une scène de "Prendre femme"La voix des artistes - Contre les initiatives du boycott culturelLes femmes et le cinéma israélien - par Ariel Schweitzer, historien du cinémaEntre le personnel et la politique - Le cinéma thérapeutique de Michel Bat Adam"Les films de femmes sont toujours politiques" - Une réalisatrice autodidacte - Ronit ElkabetzLe point de vue féminin - Le cinéma de Keren Yedaya et Hager Ben AsherLa coopération avec la France - par Keren Yedaya et Ronit Elkabetz, réalisatricesLa religion comme symbole de la domination masculine - Ronit Elkabetz sur une scène de "Prendre femme"La voix des artistes - Contre les initiatives du boycott culturel
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Le théâtre juif : des thèmes juifs - pour un public essentiellement juifLa période de la Renaissance, - ou la naissance du théâtre hébraïqueLe rôle de la Haskalah, - ou le théâtre littéraire en quête d'acteursNaissance du théâtre yiddish, - un théâtre familial et communautaireLe GOSET et la Habima, - deux troupes majeures du théâtre juif
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La langue et le visage - Ombre et lumière d'un face à faceMisstama : les langues possibles - Un déploiement dans le temps et l'espaceL'enclos des chiens - Mutilation de la langue, mutilation du visageL'effleurement de ce qui passe - A l'inverse du visage
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Documents Akadem 3 000 documents, chronologies, biographies, citations, cartes...
au format PDF, prêts à photocopier.
Une industrie en développement
Les coproductions
Au milieu des années 1950, l’Etat d’Israël s’initie à la coproduction. Le film mythique Exodus reste l’un des symboles de cette période.
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Editions Mizrahi
Tintin en hébreu
En 1987, les Editions Mizrahi publient 5 albums de Tintin.D’après les spécialistes, il existerait 2 autres titres publiés en 1972, notamment "Le trésor de Rackham le rouge "dont l’aspect diffère de la maquette Casterman.
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Aux origines de l’art israélien
L’école Bezalel
L'idée d’une école d’art juif fait son entrée dans le projet sioniste lors du septième congrès de 1905, alors que la Palestine est encore ottomane. Il s’agit notamment d’encourager les jeunes artistes juifs à venir étudier en Palestine. Plus d’un siècle plus tard, la première école d’art fondée à Jérusalem est devenue une institution de réputation internationale.
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Le maître du cinéma moderne israélien
David Perlov (1930-2003)
David Perlov est l’un des plus grands cinéastes israéliens. Né au Brésil, il a révolutionné l’art du documentaire avec ses films A Jérusalem et Diary. Réalisateur, photographe, professeur de cinéma à l’Université, il est décédé à Tel-Aviv en 2003.
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Une fenêtre ouverte sur le monde
Diary de David Perlov (1973-1983)
Dans les années 1970, David Perlov s’oriente vers une nouvelle forme de cinéma. Il décide de filmer le quotidien sous forme de journal, à travers la fenêtre de son appartement "comme à travers le hublot d'un char d'assaut". Composé de six chapitres, Diary retrace dix ans de vie de 1973 à 1983. Diary est tantôt axé sur ce qui se passe à l'intérieur ; la famille, les amis, l'appartement, et tantôt sur l'extérieur ; les événements politiques du pays, la rue, les passants, les journaux télévisés. Diary, tourné en 16 mm, est considéré comme l’oeuvre la plus influente de l’école du documentaire israélien.
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La nouvelle vague israélienne"
La Nouvelle Sensibilité
Entre 1965 et 1974, une vingtaine de jeunes cinéastes israéliens réalisent leur premier film, apportant ainsi un nouveau souffle à la production locale.On appelle ce courant la Nouvelle Sensibilité.
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Un poète engagé
Yossef-Haïm Brener (1881-1921)
Yossef-Haïm Brener est l’un des plus grands poètes hébreu contemporain. Immigré en Israël en 1909, il compte parmi les pionniers des ouvriers juifs de Palestine du nouveau Yishouv.
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Le père du cinéma israélien
Yaacov Ben Dov (1882-1968)
Yaacov Ben Dov est considéré comme le père du cinéma israélien. Originaire de Kiev, son histoire se confond avec celle de la constitution de l’Etat d’Israël.
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Aharon Appelfeld , Histoire d’une vie, ( Ed. Seuil, 2004)
Misstama
Né en 1932 à Czernowitz, en Bucovine (alors partie de la Roumanie), Aharon Appelfeld est déporté à l’âge de huit ans dans un camp dont il s’échappera. Il vivra trois ans dans les forêts d’Ukraine, puis sera enrôlé dans l’Armée rouge. Il rejoint la Palestine en 1946. Son œuvre interroge au premier chef la question de la langue, parmi toutes celles qu’il a connues. Il vit aujourd’hui à Jérusalem, où il incarne la littérature israélienne : il est traduit dans le monde entier.
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Au carrefour des traditions européenne et israélienne
Michel Kichka
Cet artiste d’origine belge est aujourd’hui le plus célèbre représentant de la caricature israélienne. Pour lui, il ne s’agit pas d’un "art mineur"puisqu’elle lui permet de faire partager à la fois son amour du dessin, et son expérience de citoyen israélien ouvert sur le monde.
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Héroïne des enfants
Dvora Omer (née en 1932)
Ecrivaine israélienne qui a su toucher le cœur des enfants mais aussi des adultes par ses œuvres littéraires destinés majoritairement à la jeunesse.
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De "Description d’un combat"…
…à "Description of a Memory"
En 1960, Chris Marker réalise "Description d’un combat ", un documentaire enthousiaste consacré au tout jeune Etat d’Israël. Il remporte l’Ours d’or au Festival de Berlin.Cinquante ans plus tard, le cinéaste israélien Dan Geva tourne "Description of a Memory ", comme un échos au film de Marker.
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Entre le vieux monde juif et le monde moderne
Samuel Joseph Agnon (1888-1970)
Samuel Joseph Agnon est l’un des plus grands écrivains du XXe siècle. Son œuvre est marquée par un écartèlement entre sa terre natale, la Galicie, et sa terre d’accueil, Jérusalem. Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1966.
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Misstama
Histoire d’une vie, Aharon Appelfeld
Né en 1932 à Czernowitz, en Bucovine (alors partie de la Roumanie), Aharon Appelfeld est déporté à l’âge de huit ans dans un camp dont il s’échappera. Il vivra trois ans dans les forêts d’Ukraine, puis sera enrôlé dans l’Armée rouge. Il rejoint la Palestine en 1946. Son œuvre interroge au premier chef la question de la langue, parmi toutes celles qu’il a connues. Il vit aujourd’hui à Jérusalem, où il incarne la littérature israélienne : il est traduit dans le monde entier.
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Aharon Appelfeld, Histoire d’une vie, (Ed. Seuil, 2004)
L’enclos « Keffer "
L’auteur de Histoire d’une vie refuse d’être un écrivain de la Shoah. Mais ses textes sont tissés de témoignages. Sa littérature se confronte directement au problème de la mémoire et de sa narration, de ce dont on parle et de ce dont on ne parle pas. Et des mots nécessaires pour cela.
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Une des premières écrivaines israéliennes
Dvora Baron (1887 - 1956)
Baron a posé les jalons du paradigme de l’écriture féminine jusqu’aux années 80, particulièrement pour les romancières issues du milieu orthodoxe.
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Le Livre des passeurs
Une anthologie subjective
Représenter trois mille ans de littérature juive dans une anthologie de moins de 500 pages oblige à des choix drastiques, et certainement cornéliens. Dans la préface à leur Livre des passeurs, Armand et Eliette Abécassis expliquent quels ont été leurs principes de sélection, et revendiquent la dimension subjective de leur entreprise.
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