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Le 'hessed
1 Etude3 Cours1 Exercice36 Ressources
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La fraternité humaine - notion universelle de la Torah La coresponsabilité dans le peuple juif, - conséquence évidente de l'amour d'autrui La pitié devant la misère humaine, - un rempart contre l'auto-destruction de l'humanité La charité, la justice et la bonté - principes fondateurs des droits de l'Homme
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Donner la dîme - Se désaisir du tout et partager Travail sur les étymologies hébraïques - L'aventure du "désir"
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Développer le lien communautaire - Une réponse àla panne de l'ascenseur social L'isolement des personnes âgées - Face aux minimas sociaux et àAlzheimer Les enfants en difficultés de l'école juive - De l'exclusion sociale àl'exclusion scolaire Vivre le handicap dans la communauté - Créer un environnement juif adapté
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Le Mal contre le Pardon - Une contradiction apparente ? Grâce du Pardon et refus de pardonner - Un homme, une philosophie, un ressentir Demander pardon sans "escamoter" l'acte - Le fondement philosophique du pardon L'inconnaissable du crime - Le pardon au-delàdu crime, ou le crime au-delàdu pardon ?
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L'exercice de la parole - Un lien entre les hommes Babel et Jérusalem - La civilisation juive L'identité sociale - Un désir de reconnaissance Questions 1 - JCall Questions 2 - La fonction de conjonction
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Introduction au traité Kétoubot - Les obligations du mariage Michna de Kétoubot - Devoirs du mari et de la communauté Attitude envers le pauvre - Maintenir l'honneur des personnes Empêcher la chute sociale - Exemples de tsédaka Aider le pauvre de son mieux - Donner avec discrétion Le visage àvisage - Tsédaka du coeur
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Les fondements de l'éthique juive - Pour penser le handicap A l'image de Dieu - Liberté, égalité, fraternité Le handicap au regard de la tradition juive - L'obligation de tsedaka Le kavod - Rétablir la personne dans sa dignité Les obstacles àl'intégration des personnes handicapées - Le poids des préjugés Les effets du diagnostic prénatal - Le mythe de l'enfant parfait Perspectives - Une utopie réaliste
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Historique de l'écriture du Tanya - La psychologie de l'humain Principes "père "et "mère" - L'amour intellectuel La nature de l'âme - Subjectivité du jugement Voir le bien en l'autre - Au nom de la réincarnation Etre témoin d'une faute - Deux réponses du Rabbi de Loubavitch
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Faire du "un" - L'idéal de complétude dans la Bible Pacification et possibilité du meurtre - Les sacrifices comme prix de la complétude Une pédagogie du prélèvement - Le Tikoun, ou comment corriger la nature par la Loi Tsédaka et éthique médicale - Du bon vouloir àl'obligation légale Trouver le Shalom par le prélèvement - Ou la part àconcéder pour vivre en paix
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L’action thérapeutique
Dieu et le médecin
Le judaïsme considère toute action en faveur de la vie comme positive, voire comme une mitsva. De cette manière l’homme qui fait du bien participe au parachèvement du monde créé par Dieu. De la même manière qu’un riche ne peut dire au pauvre qu’il ne peut l’aider, sous prétexte que Dieu l’a rendu pauvre, un homme ne peut refuser l’aide médicale sous prétexte que Dieu a créé un monde où les maladies sont possibles.
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Traité Sanhédrin
Ne pas être indifférent au danger
La Tora demande de choisir la vie, contre la mort. Ce choix ne concerne pas que sa propre vie, mais aussi la vie du prochain. Avoir du courage, savoir se battre ou nager s’inscrit donc dans la logique de la Tora.
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Traité Kétoubot
Trois exemples de tsédaka
Dans cet extrait tiré du traité Kétoubot, le texte présente l’attitude des trois grands maîtres àl’égard des pauvres, anciennement riches. On se rend compte àcette lecture que combler le manque de l’indigent exprime une notion subjective car le manque des uns n’est pas le manque des autres.
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Attitude de tsédaka
Ne jamais gronder le pauvre
A défaut d’aider un pauvre financièrement, on l’aidera par de bonnes paroles. Pour Rambam, malheur àcelui qui élève la voix contre un malheureux.
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Dons aux pauvres
Les huit niveaux de tsédaka
Dans son Michné Tora, Maïmonide (1135 – 1204) présente les huit degrés de tsédaka au pauvre depuis le niveau le plus élevé qui consiste àlui trouver un travail jusqu’au niveau le plus bas qui est de donner àcontrecoeur.
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Grâce et miséricorde
L’exemplarité divine
Un verset de la Tora nous enjoint de "suivre Dieu", le Talmud se demande quel peut être le sens d’une telle injonction: un être humain de chair et de sang peut-il prétendre demeurer aux côtés de son Créateur ? Le Talmud conclut finalement qu’il s’agit pour l’Homme d’imiter Dieu afin de poursuivre sa perfection morale.
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Justice et paix
Le baiser ultime
Pour le psalmiste, les valeurs de justice et de paix devraient s’étreindre, c’est-à-dire se compléter. Pour autant, l’Histoire a été le théâtre de conflits au nom d’un droit contre le droit de l’autre. C’est pourquoi l’époque messianique est entendue comme la réconciliation de ces deux valeurs. Rachi précise que la paix est le couronnement divin de l’engagement des hommes pour la justice partagée.
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"Israël n’est pas soumis au destin"
Le destin déjoué
Le Talmud nous relate une histoire dans laquelle des astrologues auraient prédit la mort prématurée de la fille de Rabbi Akiva. Mais grâce aux mérites de ses actions de charité le sort sera déjoué.
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La justice sociale chez Maïmonide
Huit degrés de tsédaka
Maïmonide, proposant une synthèse du Talmud dans son "Michné Tora", définit huit niveaux de tsédaka. La Tsédaka est un équilibre entre la justice sociale et la charité interpersonnelle. Le niveau le plus élevé consiste àdonner du travail àune personne pauvre, alors que le niveau inférieur exprime le don àcontre coeur.
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Un élan de générosité
L’Appel national pour la tsédaka
L’Appel national pour la tsédaka a lieu chaque année au profit des plus démunis. Luttant contre l’indifférence, elle permet àchacun d’entre nous de manifester notre solidarité au profit des déshérités de la communauté. Pour l’année 2006, elle a récolté 2 651 016 euros.
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Traité Kétoubot
Une tsédaka permanente
Le traité Kétoubot aborde les lois du mariage mais de façon plus générale les lois de la famille. La question de l'éducation est bien entendu abordée. Ici un commentaire du psautier offre une lecture originale.
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Ressembler àDieu
Les attributs divins
La Bible et les rabbins qualifient Dieu de plusieurs attributs humains, non pas parce qu’Il en a besoin, mais pour apprendre àl’homme la manière dont il doit se conduire. Maïmonide, dans cet extrait du Mishné Tora, érige ce principe en loi, nous montrant ainsi son importance et sa place dans le judaïsme. Maïmonide, lois de la connaissance,
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Traité Sanhedrin, chapitre 5, Mishna 5Talmud Bavli, traité Baba Batra, page11A
"Celui qui sauve un homme, sauve le monde"
Traité Sanhedrin, chapitre 5, Mishna 5 et Talmud Bavli, traité Baba Batra, page11A en hébreu accompagnés de leur traduction.
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Le Sanhédrin
Question de vie ou de mort
Après avoir donné les règles pour définir un Sanhédrin, la Mishna s’interroge sur l’application de la peine de mort. Même si théoriquement cette peine est reconnue, doit-elle être appliquée ?
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Le jour de Kippour
Quand le pardon tarde
Si la réconciliation entre l'homme et son prochain est nécessaire le jour de Kippour, qu'en est-il si l'offensé ne veut pas pardonner ? Le Talmud offre une réponse.
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La relation àautrui
Le Visage
Fondement de la pensée éthique de Lévinas, la relation àautrui passe par le commandement que signifie le visage. Autrui n'est pas un phénomène du monde mais un appel, il est transcendance.
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Lévinas et la phénoménologie
L'éthique comme philosophie première
Lévinas déplace l'enjeu fondamental de la philosophie: ce n'est plus l'ontologie mais l'éthique qui est le point de départ. Sa pensée s'oppose ainsi àcelle de la tradition philosophique et notamment àsa reprise par Heidegger. Au discours ontologique, Lévinas substitue "l'intrigue éthique", relation pré-originaire àautrui.
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Une question taboue
Vivre avec un handicap dans la communauté
"Il faut intégrer les personnes handicapées physiques ou mentales… " En réalité, elles sont souvent frappées d’exclusion. Beaucoup reste àfaire en matière d’information et de sensibilisation du public
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Les « Justes Parmi les Nations " de France
« Celui qui sauve un homme sauve le monde" (traité Baba Batra, 15b, Talmud)
De nombreux Français non-juifs sont venus en aide aux Juifs. Certains prirent une part plus active àleur sauvetage, risquant leur vie et celle de leur famille. On leur donne le titre de Justes parmi les Nations. En France, au 1er janvier 2004, 2366 diplômes de Justes ont été décernés par le Mémorial Yad Vashem de l’Etat d’Israël. L'ensemble des habitants du Chambon-sur-Lignon a reçu la distinction de Justes parmi les nations pour avoir sauvé près de 5000 Juifs.
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Le sens de Kippour
Prendre la condition du pauvre
Le chapitre 58 d’Isaïe est lu le matin de Kippour. Le prophète y donne la signification profonde du jeûne. Il ne s’agit pas d’une mortification, mais d’une prise de conscience du manque d’autrui. Le jeûne rappelle les devoirs de solidarité àl’égard de l’indigent comme lui donner àmanger, le vêtir ou lui donner un toit.
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